La rentrée des classes (école Simon Bolivar directeur M. Prudent) : [photographie de presse] / Agence Mondial Agence de presse Mondial Photo-Presse. Agence photographique . Paris 1932
Judith c'est une chanteuse française , née le 15 mai 1990. Elle a participé dans la Sixième Saison (2006) de Star Academy, émission française de télé réalité musicale. Judith édite son premier single Fais passer le mot en juin 2010.Ce premier essai est rapidement suivi de Te passe pas de moi, en novembre 2010. Son premier album, Si l'on s'en souvient, est sorti le 18 avril 2011 dans les bacs et sur les plateformes de téléchargement. Celui-ci s'est classé à la 62e place des ventes après sa première semaine d'exploitation.
Ouvez les liens pour écouter la chanson "Fais passer le mot " et une interview-vidéo avec l'artiste à propos de la sortie de son album "Si l'on s'en souvient"
Paroles de la chanson "Te passe pas de moi" (deuxième extrait de son nouveau album)
Elle doit avoir un peu de moi
Cette façon de penser qu’elle est ce qu’il te faut
Sait elle les choses que l’on se doit
Qu’on n’efface pas ce qu’on a dans la peau
Elle doit deviner tes silences
Là où j’avais besoin de mots
Quand la vie nous prenait à défaut
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
Y’a tant de choses qui me reviennent
Et que le temps n’efface pas
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
J’ai tellement peur qu’elle te retienne
J’ai juste peur ne m’en veux pas
Est-ce qu’elle a lu dans ton regard
Des raisons de croire qu’elle porterait ton nom?
Est-ce qu’elle est un nouveau départ
Ou bien juste un bout de ciel dans ta prison?
Mais la voir soigner tes blessures
Me ramène à mes regrets
Pardon pour ce que je n’ai pas fait…
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
J’ai tellement peur qu’elle te retienne
J’ai juste peur ne m’en veux pas
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
Y’a tant de choses qui me reviennent
Et que le temps n’efface pas
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
J’ai tellement peur qu’elle te retienne
J’ai juste peur ne m’en veux pas
Te passe pas de moi
Te passe pas de moi
Y’a tant de choses qui me reviennent
Et que le temps n’efface pas…
Les gens qui voient de travers Pensent que les bancs verts Qu'on voit sur les trottoirs Sont faits pour les impotents ou les ventripotents. Mais c'est une absurdité, Car, à la vérité, Ils sont là, c'est notoir', Pour accueillir quelque temps les amours débutant's. Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'foutant pas mal du r'gard oblique Des passants honnêtes, Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'disant des "Je t'aim'" pathétiques, Ont des p'tits gueul's bien sympathiques! Ils se tiennent par la main, Parlent du lendemain, Du papier bleu d'azur Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher... Ils se voient déjà, douc'ment, Ell' cousant, lui fumant, Dans un bien-être sûr, Et choisissent les prénoms de leur premier bébé... Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'foutant pas mal du r'gard oblique Des passants honnêtes, Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'disant des "Je t'aim'" pathétiques, Ont des p'tits gueul's bien sympathiques! Quand la saint' famille Machin Croise sur son chemin Deux de ces malappris, Ell' décoch' hardiment des propos venimeux... N'empêch' que tout' la famille (Le pèr', la mèr', la fill', le fils, le Saint-Esprit...) Voudrait bien, de temps en temps, Pouvoir s'conduir' comme eux. Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'foutant pas mal du r'gard oblique Des passants honnêtes, Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'disant des "Je t'aim'" pathétiques, Ont des p'tits gueul's bien sympathiques! Quand les mois auront passé, Quand seront apaisés Leurs beaux rêves flambants, Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds, Ils s'apercevront, émus, Qu'c'est au hasard des ru's, Sur un d'ces fameux bancs, Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour... Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'foutant pas mal du r'gard oblique Des passants honnêtes, Les amoureux qui s'bécotent sur les bancs publics, Bancs publics, bancs publics, En s'disant des "Je t'aim'" pathétiques, Ont des p'tits gueul's bien sympathiques!