C'est une des multiples initiatives de la Fondation Nicolas Hulot
Le clip "Aujourd'hui la terre"
Paroles
Meunier tu dors, ton moulin va trop fort. On n’ va pas ménager notre effort. On veut moudre le blé à la force du vent. Fais tourner tes ailes, déroule tes voiles et la brise nous nourrira. Il était une Bergère qui gardait ses moutons Le long de la rivière en amont. Et la belle naguère dans le creux de ses mains y buvait de l’ eau, l’ eau de la rivière dans un écrin de lumière Refrain: Notre Planète ...
Faut qu’on s’ y mette
d’ un même choeur,
soulageons sa douleur.
La Terre aujourd’hui
nous lance des cris
qui viennent du Ciel
et des Océans,
il va falloir agir à temps Ohé, ohé, ohé, le fermier dans son pré, a regretté le temps des chevaux. Le bon vieux temps où l’ Homme et sa jument de somme labouraient la terre, traçaient le sillon, et moissonnaient à l’ unisson.
L'affiche
"Les bons gestes au quotidien"
La Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme a été créée en 1990
Philippe Abrams est directeur de la poste de Salon-de-Provence. Il est
marié à Julie, dont le caractère dépressif lui rend la vie impossible.
Pour lui faire plaisir, Philippe fraude afin d'obtenir une mutation sur
la Côte d'Azur. Mais il est démasqué: il sera muté à Bergues, petite
ville du Nord.
Pour les Abrams, sudistes pleins de préjugés, le Nord
c'est l'horreur, une région glacée, peuplée d'êtres rustres, éructant un
langage incompréhensible, le "cheutimi".
Philippe ira seul. A sa grande
surprise, il découvre un endroit charmant, une équipe chaleureuse, des
gens accueillants, et se fait un ami : Antoine, le facteur et le
carillonneur du village, à la mère possessive et aux amours contrariées.
Quand Philippe revient à Salon, Julie refuse de croire qu'il se plait
dans le Nord. Elle pense même qu'il lui ment pour la ménager. Pour la
satisfaire et se simplifier la vie, Philippe lui fait croire qu'en
effet, il vit un enfer à Bergues. Dès lors, sa vie s'enfonce dans un
mensonge confortable...
Pour en savoir plus sur ce film consultez Wikipédia par ici
Le français du nord de la France, parlé dans le Nord-Pas-de-Calais, a
ses propres expressions et un accent bien à lui. Découvrez un extrait du
film Bienvenue chez les Ch'tis et analysez les caractéristiques du chtimi.
Exercice- Extrait de la chronique La Puce à l'oreille se fait une toile du 26 mai 2020
Plusieurs exercices
Découvrir / Écoute et CO / Phonétique / Vocabulaire / Exercies de vocabulaire
50 ans après l'histoire principale, Pierre Morhange, chef d'orchestre
aux États-Unis, retourne en France chez lui après avoir appris la mort
de sa mère avant un de ses concerts. Un vieil ami, Pépinot, arrive à sa
porte avec un vieux journal ayant appartenu à l'un de leur enseignant,
Clément Mathieu ; Ils le lisent ensemble..
Janvier 1949.
Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi, est nommé
surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs, nommé « Fond
de l'étang ». Particulièrement répressif, le système appliqué par le
directeur Rachin peine à maintenir l'autorité sur des élèves difficiles.
En familiarisant les pensionnaires aux pratiques du chant, Mathieu va
totalement transformer leur vie… et la sienne.
Synopsis détaillée
En 2003, alors qu'il s'apprête à donner l’un de ses concerts aux États-Unis, le chef d'orchestre Pierre Morhange apprend que sa mère est décédée. Il retourne chez lui, en France, après son concert (où on le voit diriger la valse Künstlerleben de Johann Strauss II), pour ses funérailles. Un de ses amis, Pépinot, arrive à sa porte avec un journal intime ayant appartenu à Clément Mathieu, l’un de leurs surveillants. Ils le lisent ensemble
Une cinquantaine d'années auparavant, en 1949, Clément Mathieu, musicien raté et professeur de musique sans emploi, arrive au "Fond de l’Étang", un pensionnat pour garçons, pour travailler comme surveillant. Près du portail, il aperçoit un très jeune garçon nommé Pépinot, attendant le samedi, jour où, selon lui, son père viendra le chercher. On apprend plus tard que les parents de Pépinot sont morts pendant l’Occupation, mais Pépinot refuse de l'admettre. Clément découvre que les garçons de l'internat sont sévèrement punis par Rachin, le directeur : punitions corporelles, travail d'intérêt général, isolement dans un cachot pouvant aller jusqu'à plusieurs semaines et punitions arbitraires pour favoriser les délations d'élèves fautifs. Il essaie alors d’utiliser l’humour et la gentillesse pour affirmer son autorité, ce qui, à sa grande surprise, fonctionne. Quand un dispositif piège conçu par Le Querrec, l’un des garçons, est utilisé contre le père Maxence, l’infirmier et le doyen du pensionnat, Clément décide de cacher l’identité du coupable au directeur, en échange des services de Le Querrec, le fautif, à l’infirmerie. Mais l'état du père Maxence empire, il est donc conduit à l'hôpital. Son refus de dénoncer Le Querrec à Rachin (lui évitant de terribles représailles) contribue à lui faire gagner le respect des élèves.
Quand il découvre que les élèves écrivent des chansons grossières sur lui, Clément décide de leur apprendre à chanter et de former une chorale pour les discipliner. Il regroupe les élèves selon leur voix, mais Pierre Morhange, l’un des élèves les plus rétifs de l'internat, refuse de chanter.
Clément découvre cependant que Pierre chante très bien et décide de lui donner des solos s’il se conduit bien
.
Violette Morhange, la mère célibataire de Pierre, arrive à l’école. Quand Clément va lui expliquer qu’elle ne peut pas rendre visite à son fils car il est puni au cachot, il est pris de pitié et attiré par la jeune mère et lui dit plutôt que son fils est chez le dentiste. Lors d'une autre visite, Clément apprend à Violette que son fils possède un immense talent pour le chant. Dans le même temps, Pascal Mondain, un jeune délinquant issu d'une maison de correction, arrive au pensionnat et commence à harceler les autres garçons, à les terrifier par des mensonges (notamment une histoire de meurtre d'un pion pédophile qu'il aurait connu) et à se montrer rebelle — lorsque Clément Mathieu lui demande de chanter pour pouvoir le caser selon sa voix dans la chorale, Mondain chante une version paillarde de À la claire fontaine. Après avoir volé la montre de Chabert, l'un des professeurs, il est enfermé au cachot pendant deux semaines.
La chorale s’améliore rapidement avec Pierre comme soliste. Les enfants sont plus heureux et l’administration est moins stricte étant donné que les problèmes de disciplines diminuent ; même le directeur commence à se détendre, à jouer au football avec les élèves et à faire des avions de papier. Mais ces beaux jours, qui voient également le retour du père Maxence de l'hôpital, prennent fin quand Rachin, furieux, découvre simultanément la disparition de tout l’argent du pensionnat et la fuite de Mondain. Soupçonnant celui-ci d'avoir volé l'argent, Rachin alerte la gendarmerie. Une fois Mondain rattrapé et ramené au pensionnat, Rachin l'interroge. Malgré les gifles que lui donne le directeur pendant une demi-heure dans l'espoir de le faire avouer, l'adolescent nie être l'auteur du vol. Rachin perd patience et frappe Mondain une fois de plus. Une fois de trop pour l'adolescent, qui se jette sur le directeur pour l’étrangler. Mais Chabert et Mathieu, qui écoutaient derrière la porte, interviennent à temps et s'interposent. Tandis que Chabert maîtrise Mondain, Rachin, qui prend cette agression comme un aveu, alerte de nouveau la gendarmerie qui vient récupérer le garçon.
Plus tard, Rachin dissout la chorale, ce qui force Clément à continuer la chorale clandestinement dans le dortoir des élèves ou dans la cantine pendant les récréations en l'absence du directeur. Clément continue à voir Violette qui ne réalise pas l’attention de ce dernier. Il prévoit de l’aider à avoir une bourse pour son fils afin qu’il puisse intégrer un conservatoire de musique à Lyon. Un jour, elle lui annonce qu’elle a rencontré un ingénieur. Clément cache son dépit en faisant semblant d’être heureux pour elle et la regarde partir dans la voiture de l’ingénieur.
Quand Rachin part accepter un prix au nom du pensionnat après avoir dit qu’il était à l’initiative de la chorale, Clément et le père Maxence prennent un jour de congé et emmènent les garçons se promener dans un bois à proximité. Alors que l’école est sans surveillance, Mondain revient et met le feu au pensionnat. Clément est renvoyé pour avoir brisé les règles, même s’il a sauvé la vie des élèves. Alors que Clément part, les garçons du pensionnat, qui ont pour interdiction de lui dire au revoir, s’enferment dans leur salle de classe, chantent – au grand agacement de Rachin – et lui lancent des messages d’adieu sur des avions de papier. Ému, Clément s’en va.
De retour dans le présent, Pierre Morhange, adulte, finit de lire le journal intime, et raconte ce qu’il s’est passé après cela : après le renvoi de Clément Mathieu, il fut retiré du pensionnat par sa mère et gagna sa bourse pour aller au conservatoire de Lyon. Devant le refus de Violette de reconduire son fils au pensionnat, l'ingénieur les quitta. Le père Maxence et les autres professeurs dénoncèrent les méthodes abusives de Rachin et, après une enquête où les enfants furent interrogés, celui-ci fut renvoyé. Selon Pépinot, Clément Mathieu a continué de donner des leçons de musique jusqu’à la fin de sa vie sans plus jamais chercher à faire connaître ses compositions.
,
La scène finale dans le passé, montre Clément en train d’attendre son bus. Alors qu’il y entre, il regarde derrière lui et voit Pépinot courant derrière lui, insistant pour qu’il l’emmène avec lui. Clément refuse d’abord, n’y étant pas autorisé, et laisse Pépinot. Cependant, le bus s’arrête quelques instants plus tard et Clément accepte : les deux partent ensemble.
Le film se conclut sur la dernière phrase de Pierre en voix off :"Pépinot avait raison d’y croire, le jour du renvoi de Mathieu, c’était un samedi."
Activité avec la BD du film - Chansons (Sous-titres) - Fiche pédagogique 1 . Activité Activité de C.O avec la Bande d'annonce du film ( Avancé ) Écoutez et complétez avec les mots qui manquent 2. Chansons Chansons du film avec des sous-titres
"Le préambule de ce site indique que la gestuelle est une notion clé
pour prendre conscience des différences d’ordre interculturel.
Le
principe de cette exposition est donc de montrer combien la
signification de gestes identiques peut différer d’un pays à l’autre.
Après
avoir exploré les tenants et les aboutissants de la communication non
verbale, ce site vise à démontrer que les langues rendent compte d’une
relation au corps propre à chaque culture.
Ces propos sont illustrés par une série de photos de gestes français courants. Il s’agit d’une véritable exposition.
Une série d’activités permet de tirer parti de toutes ces photographies et de toutes ces analyses.
Elles
peuvent être utilisées dans le cadre d’une formation professionnelle en
FLE, mais aussi avec des élèves du collège ou du lycée, ou encore des
étudiants.
Elles peuvent être utilisées dans le cadre d’activités orales et/ou écrites et facilitent la dynamique de groupe.
Les
explications ne sont pas trop techniques et permettent une réelle prise
de conscience de la dimension gestuelle dans toute culture.
C’est un site qui s’adresse tout de même à des personnes ayant un bon niveau de langue."
Extrait de l’Article:
La gestuelle française et l’Internet : sitographie
Auteur: Jean-Marcel Morlat