20/06/2010
14/06/2010
Humour avec les " Avez-vous déjà vu ? "
Avez-vous déjà vu..? est une série télévisée d'animation française de format shortcom en 150 capsules de 45 secondes, créée et réalisée par Pierre-Alain Bloch, produite par la société Chez Wam, animée par le studio Normaal et dont la narration est assurée par Alain Chabat.
Elle est diffusée depuis le 30 janvier 2006 sur M6. Durant 45 secondes environ, le téléspectateur découvre un personnage inhabituel, ou des situations impossibles.
L' intégral de la série d'animation dans cette playlist de 10 vidéos
Chaque épisode est constitué de la manière suivante :
- un court générique ;
- une saynète de cinq secondes qui présente les faits ;
- le titre de l'épisode (qui forme avec le générique une phrase interrogative) ;
- la partie centrale ;
- le Maintenant, oui. qui clôt l'épisode avec un son le reprenant.
Voix françaises :
- Alain Chabat : le narrateur, Poppi, Jean-Jean, Super Arbre, L'Homme Invisible et autres voix additionnelles
- Fabien Vehlmann : La Fée Fagot
- François Jérosme : Voix additionnelle masculine
- Marie Vincent : Voix additionnelle féminine
- Ludovic Pinette : Voix additionnelle masculine
- Christophe Brault : Voix additionnelle masculine
- Karine Lyachenko : Voix additionnelle féminine
Info: https://fr.wikipedia.org/ . Vidéos : You Tube NenoxxCraft Dupeuple
12/06/2010
" Ta main " par Les Enfoirés
Voilà le clip avec la chanson de Grégoire , Ta main . C'est avec cette chanson que Les Enfoirés ont fermé leur spectacle de cette année 2010 , La crise de Nerfs .
C'est sûr que le grand Coluche , fondateur des Restaurants du Coeur , aura entendu cette belle chanson . Regardez le clip jusqu'à la fin .
Pour retrouver le clip de Grégoire et les paroles de la chanson , vous pouvez aller par ici .
05/06/2010
Aznavour - La bohème
La chanson avec des sous-titres ( Merci , Juan )
Paroles
Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ces lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criais famine
Et toi qui posais nue
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ces lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criais famine
Et toi qui posais nue
La bohème, la bohème
Ça voulait dire on est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Dans les cafés voisins
Nous étions quelques uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux
Dans les cafés voisins
Nous étions quelques uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver
La bohème, la bohème
Ça voulait dire tu es jolie
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie
Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un café-crème
Épuisés mais ravis F
allait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie
La bohème, la bohème
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie
Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un café-crème
Épuisés mais ravis F
allait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie
La bohème, la bohème
Ça voulait dire on a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Et nous vivions de l'air du temps
Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
Et les lilas sont morts
La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout
Ça ne veut plus rien dire du tout
La Grande Sophie - Maria Yudina ( Clip / Paroles )
Chanson dédiée à la pianiste ruse Maria Yudina une femme qui s'est révoltée contre la dictature communiste de Staline
Paroles
Non je ne suis pas, non je ne suis pas Maria Yudina
Je n'ai pas de revolver au fond de mon sac pas de clef de fa
Et pourtant, et pourtant j'entends les marteaux
Si souvent, si souvent là sur le piano
Non je ne suis pas, non je ne suis pas Maria Yudina
Je n'ai pas de rhapsodie, pas de symphonie au bout de mes
doigts
Et j'entends et j'entends taper les marteaux
Si souvent, si souvent là sur le piano
Non je ne suis pas, non je ne suis pas Maria Yudina
Non je ne suis pas, non je ne suis pas Maria Yudina
Seul, l'œil de la nuit, ou bien le destin
Qu'il a choisi, qui la protège, qui la plonge dans ce
sortilège
Dans une autre vie ou tout ses matins
L'audace se dresse et se débat
La fugue est là au bout des doigts
Non je ne suis pas, non je ne suis pas Maria Yudina
Du mystère aux dents de fer
Toujours la première à garder la foi
Et j'entends, et j'entends taper les marteaux
Les accents résistants grâce à son piano
Et j'entends, et j'entends taper les marteaux
Les accents résistants grâce à son piano
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